La flamme d’un écrivain


Lu aussi dans L’ours est un écrivain comme les autres de Alain Kokor (Paris, Futuropolis, 2020) :

 

« Ce qu’entreprend un écrivain se résume toujours au crépitement d’une flamme. La mienne allait s’éteindre. » (p. 56)

Là où vit un artiste

Lu aussi dans L’ours est un écrivain comme les autres de Alain Kokor (Paris, Futuropolis, 2020) :

« Vous êtes un artiste, vous vivez au milieu de nulle part » (William Kotzwinkle)

Les auteurs en tournée


Lu aussi dans L’ours est un écrivain comme les autres de Alain Kokor (Paris, Futuropolis, 2020) :

 

« Les auteurs en tournée sont des adultes en couches-culottes. » (William Kotzwinkle)

Ce que peut ressentir un auteur

Lu aussi dans L’ours est un écrivain comme les autres de Alain Kokor (Paris, Futuropolis, 2020) :

« — Qu’est-ce que ressent un auteur dont le roman va être adapté au cinéma ?
Une odeur de pop corn ! » (p. 95)

L’apparence d’un auteur

Lu dans L’ours est un écrivain comme les autres de Alain Kokor (Paris, Futuropolis, 2020) :


« — Votre apparence joue contre vous. Vous n’avez pas l’air d’un auteur.
   J’ai l’air de quoi ?
   Franchement ? Vous avez l’air d’un ours. » (William Kotzwinkle)

L’unique moyen de faire face à la présence du mal

Lu aussi dans Les impliqués de Zygmunt Miloszewski (Paris : Mirobole Éditions. – 2013)

« … son regard se posa sur une feuille de papier où il avait recopié un extrait d’une interview de Bert Hellinger  [psychothérapeute allemand], réalisée par la Gazeta Wyborcza [quotidien polonais] si sa mémoire était bonne :

’’On exige toujours de moi de maudire les coupables de toutes sortes de crimes, mais je sais que l’unique moyen de faire face à la présence du mal est d’accepte qu’ils sont humains avant tout. Ainsi, nous devons leur trouver une place dans notre cœur. Pour notre propre bien. Ça ne les libère pas de la responsabilité de leurs actes. Mais si nous excluons quelqu’un, si nous lui refusions le droit d’appartenance, alors nous nous mettons à la place de Dieu, nous décidons qui doit vivre et qui doit mourir. Et cela est inouï.’’ » (p. 470)

Encore une description d’un archiviste

Lu aussi dans Les impliqués de Zygmunt Miloszewski (Paris : Mirobole Éditions. – 2013)

« Il était très grand, maigre au-delà du raisonnable, voûté, avait des jambes et des mains trop longues et, de surcroît, était légèrement boutonneux et rasé de près. Il portait des vêtements passés de mode, tel un héros de ces films pour la jeunesse tournés en Allemagne de l’Est dans les années soixante-dix. Des tennis, un pantalon brun d’un tissu indéfinissable, une chemise verdâtre à manches courtes et des bretelles. Szacki ne soupçonnait pas que ce style « old school » avait coûté à Podolski une bonne partie de son salaire d’archiviste. » (p. 362)