Lu aussi dans Fictions
de Jorge Luis Borges (Paris, Gallimard, 1993) :
« L’histoire, mère de la vérité ; l’idée est stupéfiante. […] La vérité historique […] n’est pas ce qui s’est passé ; c’est ce que nous pensons qui s’est passé.» (p. 49)
Lu aussi dans Fictions
de Jorge Luis Borges (Paris, Gallimard, 1993) :
« L’histoire, mère de la vérité ; l’idée est stupéfiante. […] La vérité historique […] n’est pas ce qui s’est passé ; c’est ce que nous pensons qui s’est passé.» (p. 49)
« […] le présent est indéfini, le futur n’a de réalité qu’en tant qu’espoir présent, le passé n’a de réalité qu’en tant que souvenir du présent. […] tout le temps est déjà révolu et […] notre vie est à peine le souvenir ou le reflet crépusculaire, et sans doute faussé et mutilé, d’un processus irrécupérable. » (p. 26)
« […] où vont tous les rêves empêchés des hommes ? Que deviennent-ils ? Y a-t-il un endroit qui les accueille, les recycle ? Sont-ils les nuages mouvants dans le ciel ? » (p. 275-276)
« Dans une vie, il faut rêver grand et beaucoup parce qu’il est impossible de réaliser tous ses rêves […] Mais… statistiquement, plus nous avons de rêves en tête, plus nous avons de chances, à mesure que nous nous battons pour eux, de les accomplir. Les rêves créent l’espoir. » (p. 235)
« Pascal dit que croire en Dieu est un pari sûr : si on perd, on ne perd rien ; si on gagne, on gagne tout… » (p. 127)
« Les pauvres sont plus forts que les riches, surtout si, en plus, ils ont la malchance d’être orphelins et d’avoir connu une guerre dans leur enface […] » Les riches sjnt mal habitués, et ils ont beaucoup à perdre ; ça les rend mous. Les pauvres ne sojnt pas comme ça. » (p. 122)
Lu dans Terra Alta de Javier Cercas (Arles, Actes Sud, 2021) :
« …Dieu et le diable sont les deux faces d’une même pièce et […] celui qui entretient une relation avec Dieu finit par entretenir une relation avec le diable… » (p. 75)