Lu dans Stigmates de Richard Ste-Marie (Lévis : Alire. – 2021)
« Les paroles s’envolent [...], les écrits restent. Mais lorsque les écrits s’envolent à leur tour, les idées ne restent même pas » (p. 106)
« Les paroles s’envolent [...], les écrits restent. Mais lorsque les écrits s’envolent à leur tour, les idées ne restent même pas » (p. 106)
Lu dans Les os de la méduse de J.L. Blanchard (Montréal : Fides. – 2022)
«
Vaut mieux avoir, une fois l’an, l’air
ridicule que de porter en tout temps une tête de nul ! » (p. 320)
« … en ce monde, de brutes incapables d’empathie, de respect pour la vie, essaient toujours d’arracher le pouvoir en se tricotant une autre histoire que la leur, glorieuse, héroïque, pour supporter qui ils sont. Des renégats, la lie des hommes. Partout les gens souffrent de cette folie prédatrice, destructrice d’une poignée de fous furieux assassins. » (p. 143)
« … y a pas un matin où on se lève en disant
tiens si je faisais l’adolescence. Mais c’est une période où on n’est ni grand
ni petit ni enfant ni adulte ni rien… »
(p. 131)
« Étrange comme la certitude hautaine de leur propre humanité peut amener certains hommes à se conduire comme des bêtes. » (p. 50)
Lu aussi dans Fictions de Jorge Luis Borges (Paris, Gallimard, 1993) :
« […] tous les faits de l’univers entrent dans une série temporelle. […] le chiffre des expériences possibles de l’homme n’est pas infini et il suffit d’une seule ‘’ répétition ‘’ pour démontrer que le temps est une tromperie… » (p. 160)
Lu aussi dans Fictions
de Jorge Luis Borges (Paris, Gallimard, 1993) :
« L’histoire, mère de la vérité ; l’idée est stupéfiante. […] La vérité historique […] n’est pas ce qui s’est passé ; c’est ce que nous pensons qui s’est passé.» (p. 49)