Lu dans L’inaveu
(Richard Ste-Marie. – Québec : Alire, 2012) :
« Papa
collectionnait des ledgers. Avant les ordinateurs, les cartes perforées, les
dactylo électriques, les machines à calculer et les nouvelles technologies,
toutes les transactions d’une entreprise étaient inscrites à la main dans des grands-livres
comme celui-ci. Les plus vieux sont les plus beaux et les plus étranges, car à
l’époque on ne faisait pas la comptabilité comme aujourd’hui. Les systèmes
comptables évoluent constamment. La calligraphie ancienne est émouvante, aussi. »
(p. 86)
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