Lu aussi dans Repentir(s)
[Richard Ste-Marie. – Lévis : Alire, 2016] :
« Il y a des
artistes qui sont très organisés, qui planifient tout. D’autres préfèrent l’improvisation.
Dans mon cas, je suis poussé par un désir puissant mais flou. Je ne sais pas
comment l’expliquer autrement. Comme si je poursuivais une image mentale qui
fuit à toute vitesse devant moi. Ce désir se raffine et se précise au fur et à
mesure que j’avance dans mon travail, au fur et à mesure que j’agrippe la
réalité de mon imaginaire. Mais en même temps, cette réalité me glisse entre
les doigts comme un savon dans la baignoire… » (p.286)
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