Lu dans Adios Hemingway
de Leonardo Padura (Paris : Éditions Métaillé, 2005) :
« … Hemingway
devait être quelque part maso si l’histoire était vraie qu’il écrivait debout,
sa machine Royal posée sur une étagère, car écrire […] est déjà assez difficile
comme cela sans qu’il soit besoin d’en faire un défi physique en plus de mental »
(p. 52)
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