« Autrefois, Martinsson était un policier méticuleux, à la limite de la maniaquerie. Maintenant il vivait dans un vrai chaos. Quiconque serait entré dans son bureau aurait pensé qu’il était impossible d’y retrouver le moindre document.
Martinssom débarrassa son fauteuil des dossiers qui l’encombraient. Il parut deviner sa réaction.
- Je sais, c’est n’importe quoi, dit-il d’un ton sombre. J’essaie de ranger mais j’ai beau faire, la quantité de papier augmente sans arrêt.
- C’est pareil pour moi, dit Wallander. Quand j’ai enfin réussi à me servir d’un ordinateur, j’ai cru que toute cette paperasse diminuerait. Mais c’est le contraire. » (pp. 33-34)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire