Lu dans Les fils de la poussière de Arnaldur Indridason (Paris : Métaillé, 2018)
«
J’étais fainéant, vois-tu. Ça ne me venait
pas à l’esprit de faire des efforts, d’ailleurs je n’en avais pas besoin. […] Mes amis se sont inscrits en médecine, moi
en histoire. C’est une matière qui me passionne, mais quand on y réfléchit,
elle nous dégage aussi de toute responsabilité. » (p.128)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire