Lu aussi dans Les âmes grises (Trilogie de l’homme devant la guerre)de Philippe Claudel (Paris : Livre de poche, 2015)
Il « aimait le temps au point de le regarder passer et de ne rien faire d’autre parfois que d’être derrière une fenêtre, sur une chaise longue en rotin, ou bien sur le banc qui surplombait, grâce à une petite butte artificielle que les printemps couvraient d’anémones et de pervenches, les eaux pleines de langueur de la Guerlante, et celles plus pressées du petit canal. » (p. 53)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire