Lu aussi dans Les âmes grises (Trilogie de l’homme devant la guerre) de Philippe Claudel (Paris : Livre de poche, 2015)
« C’est douloureux écrire. Je m’en rends
compte depuis des pois que je m’y suis mis. Ça fait mal à la main, et à l’âme.
L’homme n’est pas fait pour ce travail, et puis à quoi ça sert ? À quoi ça me
sert ? » (p. 212)
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