Lu aussi dans L’Énigme de la chambre
622 deJoël Dicker (Paris : Éditions de Fallois. – 2020)« …
un « grand roman », c’est un tableau. Un monde qui s’offre au lecteur qui va se
laisser happer par cette immense illusion faite de coup de pinceau. Le tableau
montre de la pluie : on se sent mouillé. Un paysage glacial et enneigé ?
On se surprend à frissonner. » (p. 285)
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