Lu dans Ce monde disparu de Dennis Lehane (Paris : Payot & Rivages. – 2016)
« Ce qu’on ne dit pas à propos du pouvoir absolu, c’est qu’il n’est jamais absolu : à partir du moment où on le détient, il y a toujours quelqu’un pour chercher à s’en emparer. C’est ainsi que les princes peuvent dormir sur leurs deux oreilles, mais pas les rois, qui guettent toujours le craquement d’une latte de plancher, le plus léger couinement d’une charnière... » (p. 63)
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