Lu dans Fictions de Jorge Luis Borges (Paris, Gallimard, 1993) :
« […] le présent est indéfini, le futur n’a de réalité qu’en tant qu’espoir présent, le passé n’a de réalité qu’en tant que souvenir du présent. […] tout le temps est déjà révolu et […] notre vie est à peine le souvenir ou le reflet crépusculaire, et sans doute faussé et mutilé, d’un processus irrécupérable. » (p. 26)
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