Lu aussi dans L’homme qui mangeait des livres de Patrice Robitaille (Ottawa : Les Éditions L’Interligne. – 2010)
« … le fruit de l'édition se savoure textuellement, que le livre est bon au point de vouloir le consommer ? Être habité par le livre, cela veut-il dire, en substance, l'ingurgiter pour de bon, puisque plus rien ne nous sépare de l'auteur ? » (p. 244)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire