Lu aussi dans Le temps est assassin (Michel Bussi. – Paris :
Presses de la Cité, 2016) :
« - Le bâtiment ressemblait à un garage sombre,
sans fenêtre ni décoration. Quatre murs de pierres et une ampoule nue pendue au
plafond. Une chaise. Une table. Et entassées sur des étagères de fer scellées
aux murs, des dizaines de boîtes cartonnées qui semblaient mieux classées dans
la pièce close que des vins anciens dans la cave d’un sommelier.
- […] Je range là
toutes mes archives, mon matériel, mes souvenirs, tout ce que je n’ai pas pu
laisser à la gendarmerie quand je suis parti. » (p. 389-390)
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