Lu aussi dans Le temps
est assassin (Michel Bussi. – Paris : Presses de la Cité, 2016) :
« - Le cloud. C’est
une espèce d’espace de sauvegarde sur Internet. Ça m’a pris des années, mais j’ai
scanné toutes les photos depuis 1961 et je les ai stockées dans ce bunker
virtuel. Vous imaginez, si ma Landhaus brûlait
ou était emportée par une tempête ? Sur le cloud, les fichiers sont archivés
pour l’éternité, comme une concession à perpétuité dans un cimetière. »
(p. 219)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire