Lu dans Le lagon noir (Arnaldur Indridason. – Paris : Métaillé, 2016), un auteur de polars islandais parmi mes préférés :
« Le supérieur de Kristvin attendait la visite de la police. Il invita Marion et Erlendur dans son bureau jonché de livres et de manuels traitant des mécanismes et des rouages des avions. Le chaos qui régnait sur sa table de travail dissimulait presque entièrement ses deux téléphones. Les armoires grises longeant les murs débordaient de dossiers et de documents. » (p. 81)
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