Lu dans Le beau mystère – Armand Gamache enquête (Louise Penny, Flammarion Québec, 2014) :
« - Nous parlions de la feuille trouvée sur le prieur. Selon vous, elle est ancienne, mais l’écriture ne l’est pas. Pourquoi dites-vous ça ?
[…]
- D’abord, l’encre est trop foncée, répondit dom Philippe qui, avec Gamache, examinait la feuille. Le vélin absorbe le liquide au fil des ans et ce qui reste à la surface n’est plus vraiment de l’encre, mais une tache prenant la forme des mots. » (p. 185)
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