Lu dans Par le feu de Marie-Ève Bourassa (Montréal : VLB, 2013)
« Dire que j’ai pourtant tout pour être un bon
écrivain : une propension pour l’alcool, une dépendance à la marijuana, un
cœur d’artichaut, une histoire triste, un spleen assez fidèle, un cahier et un
crayon. Pas d’ordinateur. » (p. 11)
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