Lu aussi dans Brouillards de Victor Guilbert (Paris : Hugo Thriller, 2023)
« Les nénuphars et les ceps de vigne qui poussent dans le corps, on ne les voit pas alors que leurs dégâts sont considérables. On imagine toujours que la douleur se crie, mais les hurlements sont parfois rassurants et la mort s'accueille plus souvent dans un dernier soupir qu'une ultime plainte. » (p. 184)
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