Lu aussi dans L’inaveu
(Richard Ste-Marie. – Québec : Alire, 2012) :
« Pagliaro
regretta les pensées qu’il avait eues en se rendant aux archives. Encore une
fois, les préjugés avaient joué, car les dossiers conservés dans les boîtes n’étaient
pas du tout poussiéreux et l’archiviste n’était pas du tout un vieux grincheux
à barbe blanche. C’était un homme au milieu de la quarantaine, allumé, de bonne
humeur et visiblement bien disposé à son endroit. » (p. 188)
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