Lu dans Le temps est
assassin (Michel Bussi. – Paris : Presses de la Cité, 2016) :
« Des dizaines de boîtes
archives, toutes étiquetées et numérotées, étaient parfaitement rangées sur des
étagères.
Eté 61.
Eté 62…
Et ainsi de suite
jusqu’en 2015. Les dernières années étaient archivées dans plusieurs dossiers.
- Je prends plusieurs
centaines de photos par an, expliqua Jakob. Surtout depuis le numérique. Mais
même avant, je vidais déjà quelques dizaines de pellicules chaque été. »
(p. 216)
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