Lu aussi
dans Figurations de Samuel Sénéchal (Trois-Rivières,
Les productions Désordre, 2015)
À
Montréal, « je me sens comme un touriste qui se retourne s’il entend des
gens parler français, lorsqu’il croise d’autres Québécois eux aussi en
vacances. Pourtant, je suis chez moi, nous sommes chez nous, aux dernières
nouvelles.
– Je
vais prendre deux pointes de [pizza] végétarienne.
– Sorry, I don’t
speak french.
– Oui,
je suis désolé moi aussi que tu ne parles pas français… Tu n’as aucune idée à
quel point! (p. 62)
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