Lu aussi dans
Les bottes suédoises de Henning
Menkell (Paris, Éditions du Seuil, 2016)
« J’étais un vieil homme qui avait peur
de mourir. Passer la frontière invisible – voilà ce qu’il me restait encore à
accomplir. Et je redoutais de franchir ce dernier pas. Je le redoutais bien
plus que je n’avais été prêt à l’admettre jusque-là. » (p. 64)
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