Lu dans Ce qu’il faut de nuit de Laurent Petitmangin (Paris, La manufacture de livres, 2020) :
« […] toutes nos vies,
malgré leur incroyable linéarité de façade, [ne sont] qu’accidents, hasards, croisements et rendez-vous manqués. Nos vies
[sont] remplies de cette foultitude de riens, qui
selon leur agencement nous feraient rois du monde ou taulards. ‘’J’ai été là au
bon moment’’, voilà ce que bien des gens comblés [peuvent] confesser. » (p. 171)
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