Lu aussi dans Furie
de Myriam Vincent (Montréal, Les éditions Poètes de brousse, 2020) :
« On tord tous un peu
la réalité pour pouvoir y vive confortablement, de toute façon, et on porte
tous des œillères face à certaines conséquences de nos actions : on ignore
la pollution produite par nos voyages, les SDF qu’on croise dans la rue en nous
rendant à un souper entre amis, les enfants qui perdent leur jeunesse à coudre
nos jeans trendy à bas prix… On mène des vies trop éclatantes pour s’attarder à
leurs zones d’ombre. » (p. 255)
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