Lu aussi dans Le lièvre d’Amérique de Mireille Gagné (Saguenay, La Peuplade, 2020) :
« … à quoi rêvent tous ces gens profondément endormis. Ou peut-être n’y arrivent-ils tout simplement pas ? Nuit après nuit, leur sommeil prend la forme d’un long tunnel d’où il leur est impossible de s’extirper. Un éboulement dans une mine. Beaucoup trop noir pour repérer la sortie. » (p. 52)
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