Les fichiers archivés pour l’éternité

Lu aussi dans Le temps est assassin (Michel Bussi. – Paris : Presses de la Cité, 2016) :


« - Le cloud. C’est une espèce d’espace de sauvegarde sur Internet. Ça m’a pris des années, mais j’ai scanné toutes les photos depuis 1961 et je les ai stockées dans ce bunker virtuel. Vous imaginez, si ma Landhaus brûlait ou était emportée par une tempête ? Sur le cloud, les fichiers sont archivés pour l’éternité, comme une concession à perpétuité dans un cimetière. » (p. 219)

Des boîtes d’archives parfaitement rangées

Lu dans Le temps est assassin (Michel Bussi. – Paris : Presses de la Cité, 2016) :

« Des dizaines de boîtes archives, toutes étiquetées et numérotées, étaient parfaitement rangées sur des étagères.
Eté 61.
Eté 62…
Et ainsi de suite jusqu’en 2015. Les dernières années étaient archivées dans plusieurs dossiers.

- Je prends plusieurs centaines de photos par an, expliqua Jakob. Surtout depuis le numérique. Mais même avant, je vidais déjà quelques dizaines de pellicules chaque été. » (p. 216)

L’archiviste de la ville de Montréal

Lu aussi dans L’inaveu (Richard Ste-Marie. – Québec : Alire, 2012) :


« Pagliaro regretta les pensées qu’il avait eues en se rendant aux archives. Encore une fois, les préjugés avaient joué, car les dossiers conservés dans les boîtes n’étaient pas du tout poussiéreux et l’archiviste n’était pas du tout un vieux grincheux à barbe blanche. C’était un homme au milieu de la quarantaine, allumé, de bonne humeur et visiblement bien disposé à son endroit. » (p. 188)

Des archives forcément sur papier

Lu aussi dans L’inaveu (Richard Ste-Marie. – Québec : Alire, 2012) :

« Il ne trouva pas, sur le site, d’archives remontant avant 2002. Il s’y attendait, d’une certaine façon. Si des archives plus anciennes existaient, elles étaient forcément sur papier. » (p. 186)
res qu’il a suivies. Toutes sortes de détails qu’on pense même pas à conserver, nous autres, dans nos dossiers de police. Un collectionneur. Un maniaque, j’te dis ! Moi, je l’appelais l’archiviste… » (p.178)