« – Vous ne vous êtes jamais demandé pourquoi
il n’existe pas de romans policiers en Islande ? Nous écrivons toutefois toutes
sortes de choses. En réalité, je crois que vous en êtes responsables. Vous êtes
enquêteurs à la Criminelle, Erlendur et vous, au fait, rappelez-moi votre nom.
– Sigurdur Oli.
– Et voilà. Rien que
vos noms semblent ridicules dans ce contexte. Vous n’êtes pas d’accord ? Quant
à la faune locale des malfrats, elle n’a aucun intérêt. » (pp. 63-64)