Lu
dans Les fantômes de Reykjavik de Arnaldur Indrisason (Paris : Éditions
Métaillé. – 2020)
« L’éditeur avait refusé son manuscrit. Il avait essuyé un second refus chez un autre. Revenez nous voir d’ici quelques années, lui avait-on conseillé. Il avait fini par publier ce recueil à compte d’auteur en le faisant ronéotyper dans un atelier installé rue Noatum. Puis il avait distribué dans les librairies et avait bien failli le vendre à la criée dans les rues comme un vendeur de journaux, mais s’en était finalement abstenu. » (p. 86)