Lu aussi dans Ta mort à moi de David Goudreault (Montréal : Stanké. – 2019)
« Nos existences prennent parfois des détours étonnants, et aboutissent dans des culs-de-sac plus étonnants encore.» (p. 63)
« Nos existences prennent parfois des détours étonnants, et aboutissent dans des culs-de-sac plus étonnants encore.» (p. 63)
« La plupart des humains ne réalisent rien de significatif au cours de leur existence, n’apportent rien de valable à l’évolution de l’humanité, sinon des rejetons pour perpétuer et accélérer l’exploitation des ressources d’une planète à bout de souffle. » (pp. 40-41)
Lu
aussi dans Tuer le fils de Benoît Séverac (Paris : La manufacture
de livres. – 2020)
« Écrire de la fiction, c’est relater l’expérience s’un individu de manière à en faire une expérience universelle, à laquelle tout lecteur doit pouvoir s’identifier. Transcender par le beau, par les sentiments. Par l’émotion, l’empathie.» (p. 143)
Lu dans Tuer le fils de Benoît Séverac (Paris : La manufacture de livres. – 2020)
« Ne croyez pas en l’inspiration. Elle est une fainéante passive alors que l’acte de création est volontaire et actif. Construisez votre base de données, votre banque d’expressions, de sensations, dans laquelle vous puiserez le moment voulu pour façonner une scène, donner corps à un personnage... » (p. 70)