Lu
dans L’Énigme de la chambre 622 de Joël
Dicker (Paris : Éditions de Fallois. – 2020)
« Les
gens considèrent souvent que l’écriture d’un roman commence par une idée. Alors
qu’un roman commence avant tout par une envie : celle d’écrire. Une envie
qui vous prend et que rien ne peut empêcher, une envie qui vous détourne de
tout. Ce désir perpétuel d’écrire, j’appelle ça la maladie des écrivains. Vous
pouvez avoir la meilleure des intrigues de roman, si vous n’avez pas envie de l’écrire,
vous n’en feriez rien. » (p. 27)