« … nous exerçons chaque jour une multitude de
choix sans nous douter de leur résonance à l’échelle de notre vie, sans même
nous en rendre compte qu’ils mettent en mouvement des forces qui fluctuent dans
un futur non encore réalisé. […] …
chacune de nos décisions ouvre un monde de possibilités et en ferment d’autres,
[…] chaque choix a une influence sur
notre trajectoire. » (p. 415)
L’impact des choix et des décisions à l’échelle de notre vie
Lu
dans Quand j’étais Théodore Seaborn de
Martin Michaud (Montréal : Éditions Goélette. – 2015)
Un roman : réalité ou fiction ?
Lu dans Sous la surface de Martin Michaud (Montréal : Éditions Coup d’œil. – 2015)
« … qu’est-ce que la vérité ? Allez donc
savoir quelle est la part de réalité et de fiction dans un roman. » (p.
403)
Une politique d’archivage des dossiers
Lu
dans Je me souviens de Martin Michaud
(Montréal : Éditions Coup d’œil. – 2014)
« Avant d’accoucher […], ma femme était
parajuriste. Au bureau où elle travaillait, il existait une politique selon
laquelle chaque avocat devait revoir périodiquement ses dossiers archivés et
décider de ce qu’il voulait conserver. J’imagine que chaque grand cabinet en a
une semblable, parce que le pied carré pour garder du vieux papier commence à
coûter drôlement cher. Les documents périmés sont détruits, d’autres sont
transférés sur des supports numériques pour sauver de l’espace et assurer leur
préservation. Chaque dossier archivé est revu périodiquement par l’avocat en charge »
(p. 413)
Survivre à la morosité des hivers québécois
Lu
dans Il ne faut pas parler dans l’ascenseur
de Martin Michaud (Montréal : Les éditions Goélette – 2019)
« Un homme normalement constitué pouvait-il
survivre toute sa vie à la morosité des hivers québécois ? On questionnait le
génome et les cellules souches à grands coups de milliards. Mais quelqu’un s’était-il
seulement arrêté à penser que la grisaille provoquait peut-être les cancers ? La
grisaille et la solitude. » (p. 242)
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