Les hommes pensent que… mais en fin de compte



Lu aussi dans Watership Down de Richard Adams (Bordeaux : Monsieur Toussaint Louverture, 2016)

« Les hommes pensent que si l’automne donne beaucoup de noix, l’hiver sera froid. Ce qui, en fin de compte, ne s’avère que rarement vrai. » (p. 215)

Nos véritables besoins



Lu aussi dans Watership Down de Richard Adams (Bordeaux : Monsieur Toussaint Louverture, 2016)

« On ne peut vivre sans eau, mais on peut se passer de cascades » (p. 201)

Vivace comme les mauvaises herbes



Lu aussi dans Watership Down de Richard Adams (Bordeaux : Monsieur Toussaint Louverture, 2016)

« Une créature sauvage qui cherche sa nourriture dans les champs et se préoccupe avant tout de sa survie est aussi vivace que les mauvaises herbes. » (p. 197)

Deviner quoi que ce soit d’un lieu inconnu



Lu aussi dans Watership Down de Richard Adams (Bordeaux : Monsieur Toussaint Louverture, 2016)

« Hormis certains aveugles, les hommes sont souvent incapables de deviner quoi que ce soit d’un lieu inconnu où ils ne voient rien. » (p. 95)

Les nuées lugubres de l’angoisse et de la crainte


Lu dans Watership Down de Richard Adams (Bordeaux : Monsieur Toussaint Louverture, 2016)

« Voir s’achever le temps de l’angoisse et de la crainte ! Voir se lever puis se dissoudre les nuées lugubres suspendues au-dessus de nous – ces sombres nuages qui attristent le cœur et réduisent le bonheur à un vague souvenir ! Rares sont les êtres qui n’ont jamais éprouvée cette joie-là. » (p. 79)