La trajectoire d’un artiste

Lu dans Charlotte de David Foenkinos (Paris : Gallimard. – 2014)

« Il existe un point précis sans la trajectoire d’un artiste.

Le moment où sa propre voix commence à se faire entendre.

La densité se propage en elle, comme du sang dans de l’eau. » (p. 67)

Les livres : un voyage dans le temps


Lu dans Huit crimes parfaits de Peter Swanson (Paris : Gallmeister. – 2021)

« Les livres sont comme un voyage dans le temps. Tous les vrais lecteurs savent cela. Mais ils ne vous ramènent pas seulement à l’époque où ils ont été écrits, ils peuvent aussi vous ramener à d’autres versions de vous-mêmes. » (p. 57)

Idée fixe et mansuétude


Lu aussi dans Le dragon de Saint-Hyacinthe de Pierre Breton (Montréal : Héliotrope. – 2021)

« ...quand une idée fixe veut occuper toute la place dans la tête de quelqu’un, c’est toujours la mansuétude qui se fait tasser en premier. » (p. 146)

Le vide et le silence ressentis

 


Lu dans Le dragon de Saint-Hyacinthe de Pierre Breton (Montréal : Héliotrope. – 2021)

« On ne ressent jamais autant le vide, on n’éprouve jamais autant le silence que dans un lieu déserté par l’effervescence auquel il est voué. » (p. 45)