« … son regard se posa sur une feuille de
papier où il avait recopié un extrait d’une interview de Bert Hellinger [psychothérapeute allemand], réalisée par la Gazeta Wyborcza [quotidien
polonais] si sa mémoire était bonne :
’’On exige toujours
de moi de maudire les coupables de toutes sortes de crimes, mais je sais que l’unique
moyen de faire face à la présence du mal est d’accepte qu’ils sont humains
avant tout. Ainsi, nous devons leur trouver une place dans notre cœur. Pour
notre propre bien. Ça ne les libère pas de la responsabilité de leurs actes.
Mais si nous excluons quelqu’un, si nous lui refusions le droit d’appartenance,
alors nous nous mettons à la place de Dieu, nous décidons qui doit vivre et qui
doit mourir. Et cela est inouï.’’ » (p. 470)