Lu dans La peur des bêtes (Enrique Serna. –
Paris : Phébus, 2006) :
« Parce que tu ne sais pas comment fonctionne
la critique […]. Ce qu’on déclare en public ne compte pas. Pures formules de
politesse. C’est dans les conversations de café ou les réunions entre amis
qu’on dit vraiment ce qu’on pense de quelqu’un, à condition qu’il ne soit pas
là. » (p. 87)
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