Lu dans Sourde rancœur (André Bruneau. –
Lanoraie : Éditions de l’Apothéose, 2016) :
« Autant le laboratoire était d’une propreté
exemplaire, autant le bureau de Derome était un fourre-tout poussiéreux. Un mur
était couvert de diplôme. Des livres et des magazines étaient disposés
pêle-mêle sur une table de travail. Un canapé de cuir brun, patiné par les ans,
disparaissait sous les piles de dossiers et de revues médicales. Comment
pouvait-il se retrouver dans un tel fouillis ? » (p. 92)
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