Peut-on critiquer un art que l’on pratique ?



Lu dans La disparition de Stephanie Mailer de Joël Dicker (Paris, Éditions de Fallois, 2018)

« Vous imaginez si les critiques littéraires se mettaient à écrire ou les écrivains à devenir des critiques littéraires ? […] Tout le monde crierait au scandale et à la partialité, et avec raison : on ne peut pas critiquer un art que l’on pratique » (p. 307)

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