Le temps avait cessé de courir vers l’avant



Lu dans Le Dynamiteur de Henning Mankell (Paris : Seuil, 2018)
 
« … il observe ainsi toute l’éclipse, avec un léger frisson quand la journée claire s’obscurcit. […] Quand tout est fini […] il reprend le sentier de gravier jusqu’à la ville et se dit qu’à l’instant où l’éclipse était complète, le temps avait cessé de courir vers l’avant, mais s’était étendu en largeur. Et pense qu’il aimerait qu’il en soit ainsi. » (p.161)


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