La complexité du monde

Lu aussi dans Le tableau du maître flamand de Arturo Pérez-Reverte  (Paris : J.-C. Lattès (Livre de poche 7625), 1993)

 « Le monde n’est pas aussi simple qu’on voudrait nous le faire croire. Ses contours sont imprécis, les nuances comptent. Rien n’est noir, rien n’est blanc; le mal peut être le déguisement du rien ou de la beauté, et inversement, sans que l’un n’exclue l’autre. Un être humain peut aimer et trahir la personne aimée, sans que son sentiment en perde sa réalité. On peut être père, frère, fils et amant tout à la fois; victime et bourreau… » (p. 316)

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