L’amour et la fascination du travail de romancier

Lu dans Le contrat de Donald Westlake (Paris, Rivages/Thriller, 2000)

« Tel avait été le premier élément de l’amour et de la fascination que le travail du romancier exerçait sur lui, ce déplacement lent mais irrésistible dans l’histoire, trouver l’histoire, en découvrir chaque péripétie, chaque pas en avant. C’était un dédale, chaque fois, un labyrinthe qu’on construisait et résolvait dans le même instant, lorsqu’on trouvait cette péripétie, puis la suivante et la suivante. » (p. 19)

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