Le bureau d’un historien islandais

Lu dans Les roses de la nuit de Arnaldur Indridason (Paris : Métaillé. – 2019)

« L’historien grattait la petite verrue qu’il avait au menton. Erlendur et Sigurdur Oli étaient dans son bureau aux murs entièrement recouverts de livres, de dossiers et de documents de toutes sortes. L’air était irrespirable. L’homme du nom d’Ingjaldur, tirait constamment sur sa pipe. Il en avait une collection impressionnante dont on voyait un aperçu parmi les paquets de tabac et les boîtes d’allumettes. » (p. 63)

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