Lu dans San Perdido de David Zukerman (Paris : Calmann-Lévy. – 2019)
« Devant eux, s’étend la décharge publique qui
coupe San Perdido en deux, comme une plaie humide et purulente. On dit que les
pauvres l’ont placée là pour ne pas sentir la mauvaise odeur des riches qui
vivent au-dessus d’eux. » (p. 8)
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