Une bibliothèque pour attirer l’attention (2)

Lu aussi dans Les jeux de l’amour et de la mort (Fred Vargas. – Paris : Éditions du Masque, 2012).

« Ça finirait pas fonctionner, c’était obligatoire. Il était si grand, si remarquable, avec son livre. C’était impossible que cela ne fonctionne pas, c’était un système infaillible. À un moment pu un autre, Gaylor se rapprocherait de la bibliothèque et il serait alerté par celui qui s’emparait avec audace du secret de ses rayonnages. Ensuite il lui adresserait la parole, Tom sursauterait et sourirait pour s’excuser » (p. 35)

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