L’odeur de la cellulose et de l’encre d’imprimerie


Lu dans Miséricorde (Jussi Adler-Olsen. – Paris : Albin Michel, 2011) :

« Elle était en train de penser à des livres. Elle y pensait souvent pour éviter d’imaginer la vie qu’elle aurait pu avoir, si seulement elle avait fait des choix différents pour son existence. Penser aux livres la transportait dans un autre monde. Le seul fait de se représenter la sécheresse et la douce texture du papier allumait en elle une flamme de nostalgie. Elle retrouvait l’odeur de la cellulose et de l’encre d’imprimerie évaporée. » (p. 195-196)

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