Les héros qui n’en font qu’à leur tête

Lu dans Le paravent de laque (Robert Van Gulik. – Paris : Union générale d’édition, 1997) :

« Le plus difficile est d’interdire à mes héros d’en faire trop à leur tête. Certains de mes personnages s’emparent tellement de mon esprit que je suis tenté de les laisser faire des choses qui n’ont aucun rapport direct ou indirect avec l’action, ce qui ne convient évidemment pas au genre policier. » (page 237)
 
 
 
 
 
















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