Survivre à la morosité des hivers québécois

Lu dans Il ne faut pas parler dans l’ascenseur de Martin Michaud (Montréal : Les éditions Goélette – 2019)

« Un homme normalement constitué pouvait-il survivre toute sa vie à la morosité des hivers québécois ? On questionnait le génome et les cellules souches à grands coups de milliards. Mais quelqu’un s’était-il seulement arrêté à penser que la grisaille provoquait peut-être les cancers ? La grisaille et la solitude. » (p. 242)

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