« Avant d’accoucher […], ma femme était
parajuriste. Au bureau où elle travaillait, il existait une politique selon
laquelle chaque avocat devait revoir périodiquement ses dossiers archivés et
décider de ce qu’il voulait conserver. J’imagine que chaque grand cabinet en a
une semblable, parce que le pied carré pour garder du vieux papier commence à
coûter drôlement cher. Les documents périmés sont détruits, d’autres sont
transférés sur des supports numériques pour sauver de l’espace et assurer leur
préservation. Chaque dossier archivé est revu périodiquement par l’avocat en charge »
(p. 413)
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