« Il était plutôt fier d’avoir participé à
toutes les étapes du progrès dans ce domaine [jeux électroniques] : depuis le ZX Spectrum et les Atari,
où l’on chargeait les jeux à partir d’une cassette audio, en passant par les
C64 et la Amiga avec leurs disquettes, jusqu’aux premiers PC aux écrans
verdâtres et monochromes, pour finir avec les machines actuelles qui étaient
capables, en temps réel et avec des millions de couleurs, de déployer devant vous
des mondes virtuels. Il en restait persuadé, ce n’était qu’une question de
temps avant que ces jeux, de plus en plus perfectionnés et basés sur des intrigues
toujours plus pertinentes, deviennent des éléments de la culture populaire au
même titre que les films de Steven Spielberg. » (pp. 83-84)
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